exemple : lune,mars,fusée,planetes

Mars Express révèle l'histoire des grands volcans martiens

mercredi 2 mai 2012

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Il y a quelques jours à peine, la Nasa présentait des images à haute résolution prises par sa sonde MRO, montrant des spirales de lave sur Mars, confirmant l'origine volcanique de certains grands chenaux d'écoulement. C'est au tour de l'Esa de révéler l'histoire du plateau de Tharsis.



mercredi 11 janvier 2012

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dimanche 11 décembre 2011

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Tiangong-1: un laboratoire spatial pour la Chine

jeudi 21 janvier 2010

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Dernièrement, la Chine a levé le voile sur un petit laboratoire spatial appelé Tiangong-1 qui serait lancé vers 2010 ou 2011. Ce laboratoire de forme cylindrique équipé de 2 ports d'amarrage serait similaire, en apparence, au Spacelab européen, une série de modules orbitaux construits par Astrium et installés dans la soute des navettes à l'intérieur desquels les astronautes pouvaient effectuer une multitude d'expériences dans des domaines les plus variés

Source:


Dimanche soir, les Géminides se donnent en spectacle

vendredi 11 décembre 2009

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Une pluie d'étoiles filantes récompensera, dimanche 13 décembre au soir jusqu'au lundi 14 décembre au matin, les courageux qui braveront le froid. L'orbite de la Terre traverse en effet l'essaim de poussières météoritiques des Géminides. A l'origine de celui-ci, un objet mystérieux baptisé Phaéton, considéré comme un astéroïde lors de sa découverte mais qui est probablement le cœur d'une comète inactive. En entrant dans l'atmosphère, les poussières météoritiques se vaporisent et ionisent l'air sur leur trajectoire, produisant ces traînées lumineuses dont certaines peuvent être très colorées.

Au programme : pas moins de 120 météores par heure dans une nuit bien noire avec seulement un fin croissant de Lune. Le spectacle démarrera dimanche aux alentours de 20h00 dans la constellation des Gémeaux. Il faudra alors regarder en direction du Nord-Est, puis de plus en plus vers l'Ouest au fur et à mesure que la nuit s'avance. Le pic d'activité se produira en deuxième partie de nuit, à 6h10 du matin exactement.

LCROSS détecte de l'eau sur la Lune

dimanche 15 novembre 2009

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LCROSS détecte de l'eau sur la Lune


La sonde LCROSS a atteint son objectif : détecter de l'eau sur la Lune. C'est ce qu'a indiqué Tony Colaprete, le responsable scientifique de la mission.

Le 9 octobre 2009 (lire notre actu), l'étage de fusée Centaure percutait la surface lunaire dans le cratère Cabeus, non loin du pôle Sud. La sonde LCROSS a alors observé les effets de l'impact. Ses caméras ont faiblement mis en évidence le panache de débris soulevé.

Ses spectromètres ont également analysé les rayonnements en provenance du cratère de 30 m de diamètre créé par l'impact. Ce sont ces mesures qui ont permis de détecter environ 95 litres d'eau (sous forme de vapeur) dans le cratère. La mesure ne portant que sur une partie du cratère, il est encore prématuré d'en déduire une quantité d'eau totale. Mais selon Tony Colaprete, les régions polaires à l'ombre, comme le cratère Cabeus, seraient donc plus humides que certains déserts terrestres.

L'annonce de cette découverte reste à compléter. Il faudra en particulier préciser l'origine de cette eau (comètes ou processus physique liés au vent solaire) mais aussi sa quantité par mètre cube de régolite.
div>Texte copié du site ciel et espace



La Lune en relief par LRO

lundi 31 août 2009

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Cette image en trois dimensions montre le paysage lunaire du plateau Descartes, tel que l'ont vu les astronautes d'Apollo 16, en 1972. Elle a été prise le 12 juillet par la sonde LRO (Lunar Reconnaissance Orbiter), actuellement en orbite autour de la Lune. C'est la première image en relief de la mission américaine.

Pour obtenir cet effet de perspective, les scientifiques ont utilisé deux clichés de la sonde pris sous deux angles différents, au cours de deux orbites successives, afin de minimiser les changements d'éclairage. La mesure des parallaxes (le déplacement apparent des objets vus sous deux angles différents) entre les deux images a permis ensuite à un programme informatique de construire une carte topographique. D'où a été tirée une image de synthèse de la zone sans exagération des reliefs. Le cratère South Ray (A), qui mesure 750 m de diamètre pour une profondeur d'environ 70 m, donne une idée de l'échelle.

Par Véronique Étienne, le 27 août 2009


Source : Ciel et Espace

400 ans de l’invention du télescope par Galilée

lundi 24 août 2009

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2009 marquera les 400 ans de l’invention du télescope par Galilée et des observations astronomiques révolutionnaires qu’elle lui a permis de faire.

À l’automne 1609, d’étranges objets appelés cannoni (canons) ou tubi ottici (tubes optiques) font leur apparition à Venise. Des objets éloignés paraissent beaucoup plus proches lorsqu’on les observe par la lentille oculaire du tube. Comme beaucoup d’autres, Galileo Galilei accorde toute son attention à cet instrument, considéré d’une manière générale comme un gadget surprenant. Il s’applique à le perfectionner et parvient rapidement à fabriquer des lentilles qui donnent de bien meilleurs résultats. Placé entre les mains de Galilée, le gadget devient un véritable instrument scientifique. Durant les dernières semaines de 1609, Galilée oriente le canon en direction du ciel étoilé et rend ainsi possible la découverte inattendue de nouveaux objets célestes extraordinaires, provoquant une révolution intellectuelle et anthropologique qui ouvrira une ère nouvelle dans l’histoire de l’humanité.
La première utilisation du télescope par Galilée a en effet été un événement qui a profondément changé le monde et ouvert la voie à l’affirmation de la science moderne et d’une nouvelle anthropologie fondée sur la raison.
Ces célébrations, qui offrent l’occasion de mieux connaître le rôle de l’astronomie et sa contribution à toutes les cultures humaines, susciteront un vif intérêt et encourageront des productions culturelles spécifiques dans le monde entier.

Ne ratez pas l’ensemble navette Endeavour et l’ISS

mercredi 22 juillet 2009

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Ce soir , (mercredi 22 juillet 2009 et demain jeudi 23 juillet 2009 ) est pour les personnes habitant le sud ouest de la France de pouvoir observer quelque chose d'exceptionnelle .

Endeavour et l’ISS seront visible a l'oeil nu pour la plupart d'entres nous , ce soir cela se passera vers 22h50 a l'ouest et se décallera vers l'est a 22h53 .

Quant au vendredi cela se passera a 22h04 en direction de la grande ours vers le " manche de la casserole " puis s'evanouira vers 22h08 vers le sud est.

Envoyez vos photos et publiez la dans vos commentaires tels que :

www.casimages.com
www.zimagez.com
ou encore
www.photomania.com

Les plus belles photos et commentaires se veront le droit de publier un post sur ce site CONQUETE DE L'ESPACE avec un sujet de votre choix concernant L'espace bien entendu , mais l'Espace est vaste et les sujets aussi !

Le concours est ouvert et sera "jugé" par les autres utilisateurs du site





Il y a 40 ans un reve devenait réalitée

mardi 21 juillet 2009

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Lancement d'Appolo 11 , le 16 juillet 1969




Les 1er pas sur la Lune



Et un bien beau site fait pour l'occasion a la NAZA , Je vous propose de le visiter ici

NAZA





Endeavour - Le décollage de nouveau repoussé

mercredi 17 juin 2009

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*
La Nasa a dû reporter une deuxième fois en quatre jours le lancement de la navette Endeavour à cause d'une fuite d'hydrogène.
*
La prochaine tentative de lancement aura lieu au plus tôt le 11 juillet.



Le lancement de la navette Endeavour aurait du débuté ce matin à 10h40 heure de Paris. Il a de nouveau été annulé en raison d'un problème technique, une fuite qui s'est produite lors du remplissage du réservoir externe, similaire à celles responsables de deux précédents reports. La même fuite avait déjà forcé la Nasa à renoncer à la première tentative de tir de Discovery en mars. Mais les équipes techniques avaient alors remplacé avec succès les pièces suspectes dont deux joints d'étanchéité avant de procéder à des tests. Ils ont procédé de la même manière avec Endeavour mais cette fois sans succès.

Le réservoir défectueux doit contenir près de deux millions de litres d'hydrogène (80%) et d'oxygène liquide à très basse température. La nuit dernière son remplissage avait commencé avec trois heures de retard en raison d'un orage violent qui a touché le Centre spatial Kennedy. "Malgré leurs efforts, les ingénieurs n'ont pas été en mesure de réduire la fuite d'hydrogène liquide dans le système de remplissage au sol" a indiqué un porte-parole de la Nasa, Mike Curie. L'agence spatiale est désormais face à un vrai casse-tête, car elle n'a toujours pas déterminé l'origine du problème.

Une mission de 16 jours

La navette Endeavour doit emmener sept astronautes, dont une Canadienne, vers la Station Spatiale Internationale (ISS). La prochaine tentative de lancement aura lieu au plus tôt le 11 juillet. La mission de 16 jours a pour objectif de livrer et attacher le troisième et dernier élément du laboratoire japonais Kibo, un porche de 1,9 tonne destiné à mener des expériences dans l'espace. Cinq sorties orbitales d'une durée totale de 32,5 heures sont programmées durant la mission. Endeavour emmènera aussi un nouveau membre d'équipage pour l'ISS, l'Américain Tim Kopra qui remplacera le Japonais Koichi Wakata.

Mars Express dévoile un réseau de canaux inconnu

dimanche 14 juin 2009

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L’imageur à haute résolution HRSC (High Resolution Stereo Camera) de la sonde européenne Mars Express a transmis des photographies détaillées de Hephaestus Fossae, une région martienne riche en cratères et en canaux d'écoulement.

Cette zone se déploie sur environ 600 kilomètres de longueur, centrée sur 21° de latitude nord et 126° de longitude est, sur les flancs occidentaux d’Elysium Mons dans la région tourmentée d’Utopia Planitia. Avec une résolution de 16 mètres par pixel, ces documents révèlent un réseau d’écoulement d’eau aujourd’hui asséché, et d’origine inconnue.


Vue générale orthochromatique de Hephaestus Fossae. Source ESAL\'ESA (European Space Agency) est l\'Agence spatiale européenne. Equivalent de la NASA en Europe.
L\'Agence spatiale européenne représente pour l\'Europe une porte d\'accès à l\'espace. Sa mission consiste à façonner les activités de développement des capacités spatiales européennes et à faire en sorte...');" onmouseout="killlink()">Esa
. Cliquer pour agrandir



Les images couvrent une surface d’environ 170 x 80 kilomètres, soit une zone de taille comparable au Monténégro. Le sol, lisse la plupart du temps, est aussi piqueté de cratères d’impact de 800 à 1200 mètres de diamètre. De nombreux cratères plus petits sont dispersés à travers toute la région.

Carte de contexte de Hephaestus Fossae. Cliquer pour agrandir. Crédit : Esa



La partie gauche de la vue générale montre un grand cratère d’impact de 20 kilomètres de diamètre, qui couvre une superficie d’environ 150 km². Son plancher pourrait héberger une grande ville telle que Bonn (Allemagne). Contrairement aux cratères plus petits, il est recouvert d’éjectas et ses remparts sont entourés de plates-formes d’écoulement de matériaux.



Le cratère, observé sous un angle d’environ 45° mettant son relief en valeur. Cliquer pour agrandir.
Crédit : Esa



De grosses météorites, en percutant le sol, ont creusé les plus grands cratères tandis que les matériaux éjectés, après avoir parcouru une trajectoire balistique, retombaient en provoquant des cratères secondaires à des distances variables.


Cratère secondaire et débris. Cliquer pour agrandir. Source Esa.



La plus grande partie de l’eau martienne se trouve en sous-sol, à fleur de terre. La présence de sillons d’écoulement provenant des cratères, serpentant à travers les débris et autres éjectas, suggère que lors de sa brutale formation, le cratère a pu atteindre une poche d’eau gelée sous la surface, laquelle a fondu.

Exemple d’écoulement dans Hephaestus Fossae. Cliquer pour agrandir. Source Esa.




Seuls les cratères d’impact de dimensions importantes présentent de tels écoulements, les autres n’ayant pu pénétrer suffisamment le sol pour atteindre la glace sous-jacente. Il est donc possible, d’après la profondeur des cratères d’impact, de déterminer à quel niveau se trouve la couche phréatique.




Vue verticale d’un cratère d’impact avec écoulement. Cliquer pour agrandir. Source Esa



Les images présentées dans cet article ont été composées à partir des trois canaux couleur de l’instrument HRSC et du canal Nadir. Les images en relief (présentées sous un angle d’environ 45°) ont été obtenues au départ d’un modèle numérique du terrain dérivé des canaux stéréoscopiques. Les images en noir et blanc en haute résolution proviennent du canal Nadir, lequel fournit la résolution la plus élevée.






Le lancement de la navette Endeavour reporté d'au moins quatre jours

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Le lancement prévu samedi de la navette spatiale Endeavour a été reporté d'au moins quatre jours en raison d'une fuite d'hydrogène, a annoncé la NASA.

La fuite, importante, a été découverte lors du remplissage du réservoir externe de la navette, a précisé le directeur des opérations de lancement, Mike Leinbach. "Il n'était pas possible de continuer", a-t-il ajouté, soulignant combien l'hydrogène est un gaz volatil et inflammable.

L'agence spatiale américaine avait rencontré un problème similaire en mars dernier avec la navette Discovery, entraînant également un report du lancement.

Endeavour devait s'envoler samedi matin (dans l'après-midi en France) pour une mission de 16 jours, destinée à livrer le dernier tronçon d'un laboratoire japonais pour la station spatiale internationale (ISS).

Si le lancement n'intervient pas d'ici le 20 juin, la NASA devra attendre jusqu'à la mi-juillet, en raison d'angles défavorables du Soleil qui exposeraient la navette à des températures trop élevées lors de son amarrage à l'ISS. AP

Nouvel œil sur M94

mardi 19 mai 2009

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Cliquer pour voir la photo entierement L'astrophotographe Roth Ritter a obtenu cette image de la galaxie M94, située à 13 millions d'années-lumière, dans la constellation des Chiens de chasse. Découverte par Pierre Mechain en 1781, M94 fut observée deux jours plus tard par Charles Messier. Au cœur de la galaxie (le disque interne, le plus brillant sur la photo), les étoiles se forment et les supernovae explosent à un rythme effréné.

Hubble remis à neuf!

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La cinquième et dernière sortie extravéhiculaire de la mission Atlantis STS-125 s'est terminée avec succès, le lundi 18 mai, vers 21h, heure française. Le télescope spatial Hubble est désormais remis à neuf. Plus de 5 heures durant, les astronautes Drew Feustel et John Grunsfeld ont remplacé le second module de batteries (qui assurent le fonctionnement des instruments durant la partie nuit de l'orbite d'Hubble), l'un des détecteurs de guidage (qui servent notamment à pointer le télescope) et la couverture thermique externe.

Une fois la mission accomplie, John Grunsfeld a déclaré: "Nous avons participé à une mission exceptionnelle et très ambitieuse. Hubble n'est pas qu'un satellite, il représente la quête de l'Humanité pour le savoir. [...] Je lui souhaite de révéler encore d'autres mystères de l'Univers." Le retour sur Terre de la navette Atlantis et de son équipage est prévu le 22 mai.

Il y a 40 ans, Apollo 10 ouvrait la route de la Lune

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Le 18 mai 1969, les astronautes américain Stafford, Cernan et Young s'envolaient vers la Lune à bord du vaisseau Apollo 10. Leur mission : répéter toutes les phases du voyage sauf l'alunissage.
Après quatre jours de traversée, leur capsule se mettait en orbite lunaire.

Le 22 mai, Thomas Stafford et Gene Cernan passaient dans le module baptisé Snoopy et entamaient leur descente vers la surface de notre satellite. Exactement vers le site sélectionné par la Nasa. Mais ils avaient l'interdiction formelle de se poser. Ils descendront jusqu'à 15,6 km d'altitude avant de repartir vers Charlie Brown, le module de commande piloté par John Young.

Le 26 mai, à leur retour sur Terre, les trois astronautes avaient ouvert la route de la Lune à Neil Armstrong et Buzz Aldrin, pour la mission Apollo 11, prévue pour juillet 1969.

Découvrez ou revivez l'expédition d'Apollo 10 grâce à notre diaporama visible dans la rubrique "Visites guidées".

Mars tuée par les astéroïdes ?

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Mars photographiée par la sonde Viking. Crédit : USGS/Ciel et Espace Photos

Ce sont les astéroïdes qui ont anéanti le champ magnétique de Mars lorsqu'elle avait 500 millions d'années, affirme une étude publiée dans le Journal of Geophysical Research. Privée de ce bouclier magnétique, l'atmosphère martienne aurait ensuite été soufflée peu à peu par le vent solaire, ne laissant aucune chance à la planète rouge de développer des conditions propices à la vie.

En réalité, les astéroïdes étaient déjà suspectés d'avoir provoqué l'extinction du champ magnétique de Mars. Deux raisons à cela. D'une part, sa disparition soudaine correspond à l'époque du bombardement massif qu'a connu tout le Système solaire, il y a 3,9 milliards d'années. D'autre part, sur Mars, seuls les plus vieux cratères d'impacts sont magnétisés. Mais il restait à valider le mécanisme imaginé pour expliquer l'extinction.

C'est ce que viennent de faire les planétologues américains Robert Lillis, Michael Manga et James Robert. D'après leurs simulations sur ordinateur, les plus gros impacts du bombardement massif ont apporté suffisamment d'énergie à Mars pour réchauffer nettement son manteau. Du coup, celui-ci n'aurait plus joué son rôle dans l'entretien de la convection du cœur liquide de la planète. Le fer liquéfié aurait cessé son mouvement en trois temps d'ascension, de refroidissement au contact du manteau, puis de plongeon vers le centre. Or, c'est précisément ce mouvement qui crée le champ magnétique par effet dynamo.

Comme en témoignent ses bassins d'impact, Mars a été frappée par au moins cinq très gros astéroïdes pendant le bombardement massif. "N'importe lequel de ces super-impacts a pu couper la dynamo martienne", précise James Robert.


Les 100 heures de l’Astronomie commencent

jeudi 2 avril 2009

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C’est aujourd’hui que débutent les 100 heures de l’Astronomie, un projet pilier de l’Année Mondiale de l’Astronomie 2009, célébrant le 400eme anniversaire de la première exploration du ciel au télescope par Galilée. Du 2 au 5 avril, de nombreuses manifestations publiques sont programmées à travers le monde, à commencer par l’inauguration qui aura lieu aujourd’hui à l’institut Franklin à Philadelphie. Présentant au public un des deux télescopes de Galilée qui ont traversé le temps jusqu’à nous, l’événement sera retransmis en direct sur Internet. Bien sûr, le ciel observé par Galilée peut encore être apprécié aujourd’hui, avec des instruments beaucoup plus performants et largement répandus. Mais cette vue tournée vers le ciel prise depuis un observatoire privé situé à Veszprem, en Hongrie, comprend également des objets que Galilée ne pouvait pas voir lors de ses longues nuits d’observation. Prise le 26 mars, l’image a capturé les traînées appariées de la Station Spatiale Internationale (la plus brillante) et de la navette spatiale Discovery. On distingue également, dans le coin supérieur droit de l’image, le passage d’un avion.

traduction réalisée par : Didier Jamet
Source : http://www.cidehom.com/

Un astéroïde traqué de l’espace jusqu’au sol

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Les astronomes viennent de mettre la main sur une météorite exceptionnelle : un morceau de l’astéroïde 2008TC3, repéré en 2008 quelques heures seulement avant sa collision avec la Terre. Détecté le 6 octobre par le télescope du mont Lemmon (Arizona) dédié à la surveillance des objets célestes potentiellement dangereux, le rocher de la taille d’une voiture avait été traqué tout au long de sa course par de nombreux autres observatoires. Le calcul précis de sa trajectoire avait permis de prédire son heure et son lieu de chute : en plein milieu du désert soudanais. Sa désintégration dans l’atmosphère avait même été observée à l’heure dite par un pilote d’avion et plusieurs satellites.

L’explosion du bolide avait eu lieu à une altitude si haute (37 km) que tout le monde était persuadé qu’aucun fragment n’avait pu subsister. Sauf l’Américain Peter Jenniskens, du Seti Institute. Rapidement, il s’associe avec Muawia Shaddad, de l’université de Khartoum, et monte une expédition pour en avoir le cœur net. Les deux hommes, accompagnés de 45 étudiants, parcourent le désert en quête de précieux morceaux. Le 6 décembre 2008, la première météorite est découverte. Jusqu'en mars 2009, quelque 280 autres fragments suivront, représentant un poids total de plusieurs kilos.
Grâce à cette traque fructueuse, les astronomes disposent pour la première fois de la carte d’identité complète d’un astéroïde. Ils peuvent relier directement la composition précise de l’objet avec son aspect dans l’espace. Les observations réalisées avant sa chute ont ainsi permis de le classer dans le groupe des astéroïdes dits F, c’est-à-dire des corps particulièrement sombres. Et l’étude des échantillons au microscope a mis en évidence un matériau constitué de grains de carbone et de verre semblables à du sucre en poudre. Une structure tellement fragile qu’elle n’avait jamais été identifiée jusqu’à présent dans d’autres météorites. Et qui devrait permettre de retracer l’histoire de la formation de ce caillou venu de l’espace.

Et en image :


Sur Mars, découverte d'une roche qui crée du méthane

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Est-ce la fin du mystère du méthane martien ? Grâce à la sonde Mars Reconnaissance Orbiter, la doctorante américaine Bethany Ehlmann vient de découvrir de la serpentine dans la région de Nili Fossae. Ce minéral est connu pour créer du méthane lorsqu'il se forme. Il est donc une cause crédible de la présence de ce gaz dans l'atmosphère martienne. Du même coup, ceux qui lui supposaient une origine biologique (comme sur Terre) voient leur position affaiblie.

La présence de serpentine dans Nili Fossae est d'autant plus intéressante que des carbonates y ont aussi été détectés. Les carbonates, comme la serpentine, se forment en présence d'eau. Surtout, c'est vers Nili Fossae qu'ont été observées en janvier 2009 les plus importantes quantités de méthane martien jamais détectées...

Cependant, il reste "un problème de timing", comme le note Bethany Ehlmann. La serpentine découverte dans Nili Fossae aurait 3,8 milliards d'années, mais le méthane détecté en janvier est, lui, forcément récent ! D'où l'hypothèse de la doctorante : la fabrication de serpentine serait toujours à l'œuvre dans des fractures profondes de Mars, où eau et chaleur offriraient les conditions propices à sa synthèse.

Une nouvelle pièce à verser au débat de l'origine du méthane martien ? En 2011, la sonde américaine Mars Science Laboratory permettrait en tout cas de tester cette idée. Pour le moment, Nili Fossae ne figure pas parmi les sites d'atterrissage envisagés. Mais cette découverte pourrait changer la donne.

L'OHP observe une planète passer devant son étoile

lundi 2 mars 2009

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Une équipe de l'observatoire de Haute-Provence a suivi en direct le transit d'une planète extrasolaire. La probabilité de voir passer un tel objet devant son étoile (c'est-à-dire que les deux astres soient alignés avec la Terre) est suffisamment rare pour que les astronomes du monde entier pointent leurs instruments vers l'étoile HD 80606 entre le 13 et le 15 février.
Découverte en 2001 à l'observatoire de Haute-Provence, la planète est une géante de 4 fois la masse de Jupiter, qui orbite autour de son soleil en 111 jours. C'est la plus longue période observée parmi les planètes découvertes par la méthode des transits (soit 15% des ">exoplanètes connues). Le nouveau transit a été suivi à la fois par un spectrographe et une caméra photométrique, ce qui permettra de préciser les caractéristiques de la planète. Le prochain passage de celle-ci devant l'étoile est prévu le 5 juin.

Espace : Le télescope Fermi révèle une explosion géante

dimanche 1 mars 2009

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D’une puissance de 8000 supernovae, l’explosion la plus violente jamais observée dans l’univers a été détectée à plus de 12,2 milliards d’années-lumière de la Terre, par le télescope Fermi, observatoire spatial en rayons gamma. Selon les chercheurs du CNRS et du CEA, « l’énergie totale libérée, la vitesse d’éjection lors de l’explosion et l’énergie extrême de la lumière émise seraient exceptionnelles ».

Le télescope Fermi vient de découvrir l’explosion la plus violente jamais observée dans l’Univers. À plus de 12,2 milliards d’années-lumière de la Terre, dans la constellation de la Carène, GRB 080916C a émis des rayons, dont les plus extrêmes « transportaient 30 milliards de fois plus d’énergie que la lumière visible ». Une découverte qui a suscité l’enthousiasme dans le milieu scientifique. Selon Frédéric Piron du CNRS et Isabelle Grenier du CEA, « l’énergie totale libérée, la vitesse d’éjection lors de l’explosion et l’énergie de la lumière émise sont exceptionnelles ».
L’observation a pu se faire grâce au « Fermi Gamma-ray Space Telescope ». Cet observatoire spatial en rayons gamma de la Nasa est une collaboration internationale qui inclue cinq équipes françaises de l’IN2P3/CNRS (1), du CEA (2), de l’Université Paris Diderot (2) et de l’INSU/CNRS (3). Cinq chercheurs du Laboratoire de Physique Théorique et Astroparticules de Montpellier (1) ont également participé à l’analyse et à l’interprétation de ces résultats publiés dans la revue Science Express du 19 février.

Une puissance de 8000 supernovae

Apparu dans la constellation de la Carène, le « sursaut GRB 080916C » a été enregistré par les deux instruments de Fermi. De par leur très grande couverture en énergie (de 10 000 eV à plus de 10 milliards d’eV), « ils constituent un observatoire des sursauts gamma unique au monde », précisent les chercheurs du CNRS et du CEA. Le détecteur « Gamma-ray Burst Monitor » a fourni l’alerte initiale à basse énergie et le « Large Area Telescope » a permis de l’étudier à haute énergie. Un troisième instrument au sol, le Gamma-Ray Burst Optical/Near-Infrared Detector (GROND), a détecté GRB 080916C dans sa phase d’émission rémanente. Ces observations à différentes longueurs d’ondes ont permis d’estimer sa distance à environ 12,2 milliards d’années-lumière, ce qui le rend extraordinaire par sa formidable puissance. Les scientifiques ont estimé (5) que cette dernière dépasse celle de 8000 supernovae, avec l’équivalent énergétique (6) de 5 masses solaires émis en moins de 60 secondes sous forme de rayons X et gamma. Au sein du jet, la matière fut expulsée à plus de 99,9999 % de la vitesse de la lumière.
Toutes ces propriétés font de ce sursaut gamma le plus violent de tous les objets célestes jamais observés. Ces fulgurantes bouffées de rayons gamma, qui peuvent durer d’une fraction de seconde à quelques minutes, sont généralement suivies d’une émission rémanente plus faible sur plusieurs jours. La plupart des sursauts proviendrait de l’effondrement en trou noir du coeur d’étoiles très massives à la fin de leur vie. La formation du trou noir s’accompagne d’une violente éjection de plasma qui expulse une partie de la matière de l’étoile sous forme d’un jet filant à une vitesse très proche de celle de la lumière (4).

(1) LLR : Laboratoire Leprince-Ringuet (CNRS/École Polytechnique), CENBG : Centre d’études nucléaires de Bordeaux-Gradignan (CNRS/Université de Bordeaux1), LPTA : Laboratoire de physique théorique et astroparticules (CNRS/Université Montpellier 2). (2) IRFU : Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers, Service d’Astrophysique (SAp), Laboratoire AIM (CEA/Université Paris Diderot/CNRS) et Service d’Electronique des détecteurs et d’Informatique (Sédi), Saclay. (3) Centre d’Étude spatiale des rayonnements (CNRS/Université Toulouse 3). (4) L’émission initiale résulterait des ondes de chocs qui accélèrent les particules au sein du jet, et l’émission rémanente proviendrait du freinage de ce dernier dans sa course à travers les nuages interstellaires environnants. (5) La taille du cône du jet de matière étant extrêmement difficile à mesurer, les scientifiques calculent souvent la puissance des sursauts gamma en supposant que l’énergie a été libérée dans toutes les directions. (6) selon la célèbre formule E = mc2 d’Einstein.

Cité de l'Espace : la lune prend ses quartiers à Toulouse

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2009, année de la lune

Toute l’année 2009, 40 ans après le premier pas de l’Homme sur la Lune, la Cité de l’espace emmène son public dans un voyage inédit à la découverte de la lune. Au programme, un festival de nouveautés : nouveaux spectacles Imax® 3D, Planétarium et Stellarium et nouveau jeu-parcours pour toute la famille.


Et si, vous deviez vous préparer à partir vivre sur la Lune ? En 2009, la Cité de l'Espace vous invite à découvrir ce satellite naturel à travers différentes animations, parcours et spectacles.

Pour commencer votre ascension vers les étoiles, la Cité de l’espace vous propose de tester un parcours plein de surprises pour mieux comprendre les caractéristiques de la Lune. Ce parcours, adapté à toute la famille, est proposé pendant toutes les vacances 2009 et les dimanches et jours fériés .

Au catalogue des nouveautés également, un nouveau spectacle Imax®3D baptisé "Walking on the moon" qui débutera à partir du 3 février 2009. L'occasion de découvir la Lune en 3D comme si l’on y était avec des images inédites des astronautes des missions Apollo. Seuls 12 hommes ont pu marcher sur la Lune : à vous maintenant de faire vos preuves !

A la conquête de la lune

Pour les plus petits, l'aventure continue au Stellarium (Planétarium enfants) avec le nouveau spectacle "Opération Matilda" à partir du 7 février 2009. L'histoire ? Tom est tombé amoureux de Matilda, la plus jolie fille de la classe. Passionnée d’astronomie, elle passe ses soirées à observer le ciel, et ne s’intéresse pas à lui. Pour la conquérir et l’éloigner de William, le séducteur de l’école, Tom a un jour une idée folle : partir sur la Lune pour qu’elle le voit enfin, à travers sa lunette astronomique.

Mais comment faire ? En dévoilant leur blog où chacun tient son journal intime, Tom et Matilda nous racontent leur histoire et nous font découvrir la Lune avec un nouveau regard. Une fiction astronomique créée par la Cité de l’espace et adaptée aux 8-12 ans (week-end, vacances scolaires, jours fériés et sur réservation en semaine pour les groupes scolaires).

En apesanteur

La Cité de l'Espace a également prévu de lancer dès le 4 avril 2009, un nouveau spectacle de Planétarium, réalisé en coproduction avec le Planétarium de Montpellier, qui propose de découvrir toutes les facettes de la Lune : son influence, ses liens avec la Terre, la fascination qu’elle exerce sur les hommes, les projets lunaires et les caractéristiques de cet objet astral unique.

Après la théorie, la pratique ! Petits et grands (plus de 1m 35 pesant entre 37 Kg et 80 kg) sont invités à tester le dernier-né des simulateurs de marche extra-terrestre : l'Astrojump. Marrant, votre poids varie selon les planètes sur lesquelles vous marchez .Sur la Lune vous pesez 6 fois moins que sur Terre ! Vous ressentirez alors les sensations de légèreté que seuls quelques astronautes « moonwalkers » des missions Apollo ont pu expérimenter.

Enfin, l'histoire ne s'arrête pas là, puisque tout au long de l'année, un programme d’événements et d’animations autour de la Lune et de l’Année Mondiale de l’Astronomie sera proposé à la Cité de l'Espace.

Pour en savoir plus : www.cite-espace.com

Source : tourmagazine

La Chine a cartographié la Lune

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Au terme d'une mission de 16 mois, pendant lesquels elle a cartographié la surface de la Lune en effectuant des milliers de rotation autour, la sonde chinoise Chang'e-I s'est écrasé comme prévu, dimanche, sur le sol du satellite terrestre. Cette mission de cartographie s'inscrivait dans le cadre du programme d'exploration spatiale de la Chine, qui ambitionne d'envoyer des taïkonautes sur la Lune en 2012.

CoRoT-Exo-4b

mardi 3 février 2009

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Le télescope spatial CoRoT du CNES qui tourne autour de la Terre depuis plus de 570 jours a découvert un système planétaire inédit.


Vue d'artiste du satellite CoRoT



CoRoT-Exo-4b

L'exoplanète ainsi découverte est semblable à Jupiter. Elle serait 0,72 fois moins massive et 1,17 fois plus grosse qu'elle, pour une période de rotation autour de son étoile de 9,2 jours, ce qui en fait la seconde plus longue période de rotation connue pour une exoplanète découverte par transit.

Grâce à des observations menées sur plusieurs mois sans interruption, l'équipe de CoRoT a été en mesure de caractériser les variations de luminosité de l'étoile hôte, qu'elle a attribuées à la présence de taches sombres à sa surface, puis d'en déduire sa période de rotation. Elle a ainsi découvert que l'étoile, dont la masse est 1,13 fois celle du Soleil, formait avec sa planète un système synchrone. Ce résultat est inédit car la planète présente une masse trop petite et une distance trop grande par rapport à son étoile pour avoir avec elle ce genre d'effet synchrone.


Note

CoRoT utilise la méthode des transits pour détecter des planètes extrasolaires, mesurant l'assombrissement de l'éclat d'une étoile lorsqu'une éventuelle planète, un compagnon, passe "en transit" devant elle. Il détecte ainsi la planète et détermine, à l'aide d'observations complémentaires au sol sur de grands télescopes, sa masse et son diamètre.

Vol au-dessus du cratère lunaire Pythagore

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Le cratère Pythagore, avec ses 130 km de diamètre, est l'un des plus beaux de la Lune. Il est aussi l'un de ceux qui se trouvent près de la limite entre la face visible et la face cachée, au nord de la mer du Froid. De sorte que depuis la Terre, on ne le voit que sous un angle très rasant. L'amateur Mario Weigand lui a tiré le portrait récemment avec un télescope de 355 mm de diamètre. Sur cette image, en raison de la libration de la Lune, Pythagore se trouve presque exactement sur le bord lunaire. La vue sur son double pic central est saisissante.

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Eclipse du 26 janvier 2009

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Astronome amateur de la Réunion, Patrice Gourbier vient de faire parvenir a cieletespace cette animation de l’éclipse du 26 janvier 2009. À quelques passages nuageux près, il n’a pas manqué une miette de cette rencontre entre la Lune et le Soleil.
Les observateurs réunionnais ont juste pu suivre une éclipse partielle. Pour assister à une éclipse annulaire, il fallait se trouver près de 2000 km au sud-est de l’île, au beau milieu de l’océan Indien.
Cette belle série d’images a été réalisée avec un télescope de 150mm et un reflex numérique. La couleur bleutée du Soleil est due au filtre puissant placé à l’ouverture de l’instrument.

Corot découvre la plus petite des exoplanètes ! Exo-7b

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L'équipe du satellite Corot vient de dénicher une cousine de la Terre. Avec un rayon double de celui de notre planète, Corot Exo 7b devient la plus petite ">exoplanète jamais découverte. Mais la comparaison avec notre monde s’arrête là. En effet, l’astre détecté par le satellite français et situé à 400 ">années-lumière, fait le tour de son étoile en 20 heures seulement. Il en est si proche qu'une température infernale règne à sa surface, 1500°C !

La découverte est importante. Sur les quelque 330 planètes recensées en dehors du Système solaire, la grande majorité sont des géantes gazeuses. Une vingtaine seulement (dont Corot Exo 7b) sont des "super-Terre", c’est-à-dire des corps d'une masse inférieure à 15 fois celle de notre planète et composés en partie de roches.

Avant l’arrivée de Corot Exo 7b, les astronomes ne pouvaient faire que des hypothèses sur la nature exacte de ces petites planètes. En effet, ils étaient parvenus à déterminer uniquement leur masse, et non leur taille. Ils ne pouvaient donc rien dire sur leur densité, une donnée primordiale pour connaître la composition de ces corps.

Avec cette nouvelle venue, c'est maintenant chose possible. Après plus de 150 passages de la planète devant son étoile, observés pendant un an par Corot, les astronomes ont pu mesurer son rayon avec précision: 1,75 fois celui de la Terre. Le hic est que, pour le moment, les télescopes au sol n’ont pas pu déterminer sa masse précisément. Elle ne devrait pas pourtant dépasser 11 masses terrestres. De nouvelles observations affineront cette valeur et donneront ainsi un visage à ce nouveau monde. Pourvue d’une forte masse, cette planète essentiellement rocheuse doit être recouverte de magma en surface. Dans le cas contraire, elle est constituée d’un mélange d’eau (subsistant en profondeur) et de roche.

La parole aux auteurs : « La Carte du Ciel »

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avec Jérôme Lamy,
directeur de l’ouvrage collectif « La Carte du Ciel, histoire et actualité d’un projet scientifique international » aux éditions EDP Sciences
Durée : 21'11

A la fin des années 1870, l’Amiral Amédée Mouchez, directeur de l’Observatoire de Paris, conçoit le projet grandiose de photographier tous les astres du ciel. Quoi de plus moderne, à l'époque, que d'associer la nouvelle technologie photographique aux besoins de la cartographie céleste ?

Très vite, le projet prend une dimension mondiale et mobilise de nombreux observatoires à travers le monde. Mais tandis que Mouchez prévoyait 6 à 8 années d'observations pour achever son grand-oeuvre, le projet ne sera arrêté – inachevé – que huit décennies plus tard !

Histoire d'une première aventure scientifique internationale.






Source : cieletespace

Conjonction parisienne

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En tombant à l'improviste sur ce tableau céleste, composé d'un croissant de Lune, de Vénus et de la tour Eiffel, vendredi 30 janvier, Olivier de Goursac s'est précipité sur son appareil photo. Il a été bien inspiré, la brume provoque une ambiance toute particulière, et le cadrage depuis l'avenue Rapp est magnifique.
Cette image montre également qu'il est possible de faire de belles images au pied levé avec un simple compact numérique. A défaut d'avoir un trépied photo, il est possible d’improviser un support de fortune (sur le toit d’une voiture par exemple). Le photographe compense ainsi un temps de pose parfois un peu long : 2 secondes dans le cas présent.

Jean-Luc Dauvergne, le 1er février 2009